Voici le catalogue de nos pièces détachées pour la période 2000-2016, à destination des lecteurs qui préfèrent lire les versions papier de textes toujours trop longs à l’écran.

Ce catalogue s’est accru d’une dizaine de pièces par rapport à l’an dernier. Il recense désormais 77 recueils (format A5, couverture cartonnée 250 g.) – enquêtes et analyses sur la technologie, la technocratie et le transhumanisme, produites à partir de la technopole, alias « Laboratoire grenoblois ».

Pour mémoire, personne ne nous paye. Nous ne sollicitons pas de subventions de pouvoirs publics ni de mécènes privés, fussent-ils alternatifs. Nous ne percevons pas de cotisations d’adhérents. Nous ne harcelons pas nos lecteurs d’incessants appels à dons et souscriptions. Nous n’existons pas pour exprimer leurs opinions mais les nôtres, fondées sur notre activité critique. Nous acceptons les dons sans contrepartie, comme celui d’un ami chercheur, lauréat d’un prix littéraire, qui nous a remis cette année 1000 € de sa récompense. Ainsi, même si des lecteurs ne sont pas toujours d’accord avec nous, ils peuvent toujours avoir foi dans notre liberté et notre intégrité.

Nos pièces détachées valent, frais de port compris (pour la France) :
 5 € l’unité,
 7 € les 2,
 10 € les 3,
 3 € pièce à partir de 4 unités.
La collection complète vaut 200 €, frais de port compris (pour la France).

Pour commander, merci d’envoyer un chèque à l’ordre de :

Service compris
BP 27
38172 Seyssinet-Pariset cedex

En dehors de la librairie (livres, films, cartes postales, brochures), quatre rubriques composent le fonds d’où nous tirons ces pièces détachées :
 Service compris recueille des articles d’autres sites et de la presse commerciale, que nous reproduisons à peu près sans commentaires. C’est de la matière brute livrée à la connaissance et à la réflexion de nos lecteurs.
 Documents rassemble des enquêtes d’histoire, des textes de critique sociale et tout d’abord de critique des technosciences, puisque celles-ci sont aujourd’hui la poursuite de la politique par d’autres moyens. De la stérilisation à la reproduction artificielle de l’humain. Du contrôle à la contrainte.
 Nécrotechnologies archive nos interventions contre tel produit, telle activité, telle conséquence de l’emballement technologique, du nucléaire aux NBIC, de la biométrie aux implants cérébraux, des RFID à Linky et au téléphone portable, du puçage des brebis à l’école numérique. Du cas de figure au système cybernétique.
 Faits divers chronique l’actualité, les événements du jour et le ravage du territoire, la destruction de la ville, de la vallée, des massifs, des forêts, etc., dans la gueule du capitalisme technologique. On ne peut pas défendre une « zone » naturelle sans attaquer le complexe scientifico-industriel qui, sans relâche, change la vie et transforme le monde, à coups d’innovations techno-marchandes.

Nous sommes conscients de la défaite qu’il y a à se servir d’un site Internet pour appeler à la déconnexion générale, mais nous n’avons le choix qu’entre deux façons de perdre : en utilisant ou en refusant les armes de l’ennemi. C’est notre défaite qui constitue l’objet d’ensemble de notre enquête, et la recherche incessable d’une issue de secours. Nous avons toujours diffusé nos textes sur papier, et recommandé à nos lecteurs de les imprimer. Ils peuvent donc également commander ces pièces détachées, pour les conserver ou les faire circuler.