Nous avons reçu ce texte de "Radicaux non fanatiques", à propos de l’état d’urgence, de la COP 21 et des attentats islamistes à Paris. Où l’on voit une fois de plus que le sang se change en encre - mais c’est l’encre aussi qui fait verser le sang - : les gens qui écrivent n’agissent pas moins que ceux qui "passent à l’acte". Aussi est-il juste qu’ils répondent de leurs écrits comme les autres de leurs actes, et qu’ils pèsent leurs mots : c’est ce que fait ce texte.

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