La Métro tente de recruter Pièces et Main d’Œuvre

lundi 3 avril 2006 par Pièces et main d’œuvre

Vous est-il déjà arrivé d’avoir une chauve-souris qui s’accroche dans vos cheveux ? Les porteurs de toison nous comprendront.

Depuis un an Dorothée Benoit-Browaeys, "journaliste scientifique" (Vivant Info, association VivAgora) s’agrippe à la contestation des nanotechnologies pour vendre de la "démocratie technique" à ses partenaires parisiens et à la Métro. En vue de l’inauguration de Minatec, elle a fourgué à cette dernière un nouveau dispositif destiné à envaper l’opposition aux nécrotechnologies grenobloises.

Nous avons fait le calcul : en un an la Métro a dépensé au moins 156 000 € (plus d’un million de francs) en dispositifs de communication et d’acceptabilité des nanotechnologies (talk show "Sciences et Démocratie", rapport à PB Joly, cycle "NanoViv" de D. Benoit-Browaeys). Les écotechs de l’ADES s’abstenant héroïquement à chaque délibération sur le sujet. Tout de même, pour ce prix-là, la Métro aurait pu essayer d’acheter notre silence.


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