L’innovation partout, par tous, pour tout, pour tous , tout le temps !

Tout le monde le crie ; de L’Usine nouvelle au Monde Diplomatique ! De la bourse du travail à la Chambre de commerce et d’industrie ! De l’Ecole de management à la Maison de la Nature, en passant – oh oui, surtout -, en passant par la Mairie, le Conseil général, le Ministère, l’Université, l’Europe, la boîte ! – « Sans l’innovation, on est foutu ! »

L’innovation ou la mort !

 Sous le soleil de l’innovation :
Ce que tout activiste ou militant doit savoir (et les autres davantage encore)
 Sous le soleil de l’innovation :
 Une histoire de Grenoble (1869-2012) et du « modèle grenoblois »
 Une histoire du capitalisme, de sa perpétuelle régénérescence et de sa perpétuelle expansion
 Une histoire de l’accélération technologique
 Une histoire des sciences et techniques
 Une histoire industrielle et militaire
 et militaro-industrielle
 Une histoire de la recherche, de l’industrie et du pouvoir – une histoire de la liaison recherche- industrie – politique
 Une histoire du complexe scientifico-militaro-industriel
 Une histoire politique –
 politique toujours, et avant tout !

Une histoire historique !

La véritable histoire ! Celle qu’on vous a cachée depuis cent ans, enfin révélée !

Avec des personnages inoubliables, des décors somptueux, des paysages grandioses, de l’action, des guerres, du sang, du sentiment, des rebondissements ! Des cimes montagneuses aux laboratoires scientifiques, des torrents à la ville, de l’humble turbine de la Combe de Lancey au fabuleux GIANT ! ( Grenoble Innovation for Advanced New Technologies)

Attention ! Ceci est une histoire vraie, tirée de faits et de personnages réels ! Toute coïncidence avec des événements, des personnes, des situations ayant réellement existé ne peut donc être l’effet du hasard : c’est vrai !

Attention ! Cette histoire présente des scènes politiquement explicites susceptibles de choquer la sensibilité progressiste, notamment de personnes d’obédience libérale ou communiste, de gauche ou de droite, patronale ou salariale, syndicale, associative et même de quelques autres. Nous déclinons toute responsabilité pour les crises de stupeur indignée et de fureur stupéfaite.

Grands ou petits personnages, vous ne les verrez plus jamais pareils !
Aristide Bergès, « l’inventeur de la Houille blanche », René Gosse, « le Doyen rouge », Louis Néel, Technopolite de Grenoble, prix Nobel de physique , et Paul Janet, Paul Héroult, Casimir Brenier, Louis Barbillion, Louis Vicat, George Flusin, Aimé Bouchayer, Paul Mistral, Charles Keller, Félix Esclangon, Louis Weil, Erwin Lewy alias Félix Bertaut, Pierre Guillaumat, un technarque de l’industrie nucléaire, Michel Soutif, l’atomiseur de Marcoule, J.M Berthoin, sénateur de l’Isère et ministre de l’Education nationale, Bernard Delapalme, Michel Cordelle, Hubert Dubedout et tous les marins du CEA-Grenoble, André-Jacques Auberton-Hervé de Soitec et tous les « essaimeurs » de start-up du CEA-leti, Jean Therme, « Innovator », actuel Technarque du CEA-Grenoble parmi ses nombreux titres, Michel Destot, ingénieur-maire de Grenoble, « l’homme qui n’a rien vu à Fukushima », Geneviève Fioraso, ministre des subventions à l’industrie solaire, à la biologie de synthèse et au Laboratoire grenoblois, François Brottes, techno-maire de Crolles-les-Puces, Jean Perrin, prix Nobel de physique 1926, et fondateur avec René Gosse, Jean Zay, Irène et Frédéric Joliot-Curie, du CNRS-A, son fils, Francis Perrin, Directeur du Commissariat à l’Energie Atomique, Charles De Gaulle, stratège de la technique, Bernardy de Sigoyer et Pierre Boisgontier, économistes maos, idéologues des technosciences, Gérard Destanne de Bernis, économiste communiste et concepteur de « l’industrie industrialisante », Frappat Père et fils, « vrais Grenoblois AOC » de la presse et de la communication, Dominique Pestre, historien et parapentiste des « Science Studies », et tous ceux, hélas, trop nombreux pour être cités ici.

Ils ont dit :
 Le Monde diplomatique : « Tout n’est pas faux dans cette diatribe simpliste des bricoleurs de Pièces et Main d’œuvre. Leur pire bévue est d’attribuer à la recherche et à l’industrie, des crimes qui ne découlent que du caractère privé des moyens de production et d’échange, du capitalisme et de la mondialisation libérale, et non du mode de production lui-même. Comme chacun sait, science et technologies sont neutres en soi, tout dépend de l’usage qu’on en fait. »

 Politis : « C’est entendu, Pièces et Main d’œuvre entretient une véritable phobie des « machines » censées asservir l’espèce humaine. Mais de là à s’en prendre à l’innovation prêterait à sourire, n’était la violence crue du propos. De Gaulle, en son temps, avait déclaré : « On peut bien sûr regretter le temps des lampes à huiles et de la marine à voile ». On ne saurait donc trop inviter le lecteur à délaisser cette littérature aux relents réactionnaires. »

 Là-bas si j’y suis(France Inter) : « Biiip !... Allô Daniel !... J’t’appelle pour dire que c’était génial l’émission d’hier !... Ils étaient génials les gars de chez Dassault-Thalès-Arkema !... Les patrons du Cac 40, c’est vraiment des pourris !... Il faut mettre les entreprises sous le contrôle des travailleurs pour empêcher les délocalisations et les dérives ultra-libérales !... Allez, ciao, viva ! Portez-vous bien !... Continuez ! Vous êtes génials !
- Haha !... Merci !... Hahaha !.... Merci, chers Auditeurs Modestes et Géniaux !... Et n’oubliez pas de laisser vos messages au 01 56 40 37 37, dans la boîte géniale de Là-bas si j’y suis ! »

Vous aussi, lisez et faites lire « Sous le soleil de l’innovation, rien que du nouveau ! »

(A télécharger ci-dessous).

A lire aussi :
 Entretien avec Louis Néel (1986), archives du CNRS
 Louis Néel en 1976 : Creys-Malville, le dernier mot ?
 Généalogie de la technopole grenobloise