Au sens premier depuis le XIIIe siècle, la police est le gouvernement de la cité - gestion et discipline, exercice du pouvoir politique - avant de désigner l’organisation rationnelle de l’ordre public.

Subterfuge & Pièces et Main d’oeuvre

présentent

RFID : la police totale

un film de 28 minutes contre la tyrannie technologique et l’avènement de la société de contrainte.

On peut voir et télécharger ce film sur http://websuterfuge.free.fr/rfid.html

(Egalement en ligne sur http://hors-sol.herbesfolles.org/wp-content/uploads/police-totale.avi )

On peut le commander en DVD, en envoyant un chèque de 5 euros (à l’ordre des Bas-Côtés) aux Bas-Côtés, 59 rue Nicolas Chorier, 38000 Grenoble, en précisant lisiblement sa commande et son adresse.

Nous encourageons évidemment tout un chacun à le télécharger, à le diffuser, et à organiser des projections et des débats contre l’invasion des RFID.

Peu de gens encore, hors des laboratoires, des services vétérinaires et de logistique, connaissent les RFID (Radio Frequency Identification), aussi nommées "étiquettes électroniques", "intelligentes", "smart tags", "transpondeurs", "puces à radiofréquences", "puces sans contact". Ces mouchards nés durant la seconde guerre mondiale supplantent désormais les codes-barres dans les objets de consommation et sont implantés dans les animaux, les titres de transport et d’identité, les livres des bibliothèques, les arbres des villes, toutes choses de proche en proche, et même de plus en plus d’êtres humains. Sans les nanotechnologies, qui permettent de réduire leur taille et leur prix, les puces RFID n’infesteraient pas nos vies et IBM ne pourrait pas proposer aux décideurs son programme de puçage généralisé de tout et de tous (des espaces "naturels" aux décors urbains, des marchandises aux infrastructures d’énergie, de transports et aux services, de santé, d’éducation, des animaux aux humains) baptisé "planète intelligente".

Voici venu le temps du marquage électronique, universel et obligatoire.
Bientôt il sera criminel d’extraire de son corps sa puce d’identité.

 Avez-vous quelque chose à vous reprocher ?