Quel est le point commun entre la démocratie participative et l’acceptabilité sociale ? "Faire participer, c’est faire accepter", disent les sociologues du laboratoire France Telecom.

L’acceptabilité, c’est l’ensemble des techniques - entre marketing et propagande - développées par les sociologues des "usages" pour nous faire accepter les nouvelles technologies. Puisque celles-ci changent nos vies, il importe aux chercheurs et aux industriels qui exploitent les innovations, de s’assurer que le public ne rechignera pas à voir sa vie bouleversée par l’invasion de chimères génétiques, de gadgets électroniques ou d’objets communicants.

Il était bien normal que la capitale des high tech françaises, "le laboratoire grenoblois" développe, en même temps que la Recherche & Développement, les méthodes d’acceptabilité des nécrotechnologies.

On retrouve dans l’excellente enquête publiée par la revue Z, que nous reproduisons ici, les figures connues de l’IDEAS Lab de Minatec : Philippe Mallein, le sociologue jaune, et Michel Ida, son patron, qui veut nous vendre des lunettes et des stylos communicants (cf Aujourd’hui le Nanomonde - Nanotechnologies, un projet de société totalitaire, par Pièces et Main d’Oeuvre. Editions L’Echappée, 2008).

Tout savoir sur Z : www.zite.f

(Pour lire le texte intégral, cliquer sur l’icône ci-dessous.)