Orange, Nokia, STMicroelectronics et le Mobile Manufacturers Forum remercient les journalistes qui, durant tout l’été 2008, ont défendu le téléphone portable contre les critiques. Tandis qu’un livre publié par les éditions L’Échappée démontait les ravages de cette prothèse électronique, la presse se concentrait sur les "risques sanitaires" des champs électromagnétiques pour mieux rassurer et affirmer l’attachement universel au sans-fil.

"Nous n’avons rien contre le téléphone portable". Riverains opposés aux antennes-relais, journalistes "enquêteurs", associations "citoyennes" : chacun s’inquiète des effets du téléphone portable, personne n’a rien contre l’objet lui-même. Nous, c’est le contraire. Ayant démonté les ravages sociaux, environnementaux, politiques, humains, de ce "gadget de destruction massive", nous avons tout contre lui. Question de logique. On ne peut pas avoir le portable ET la santé, la sauvegarde de la planète, l’autonomie individuelle, la protection de la vie privée.

Dernière nouvelle dans Le Monde du 28-29 septembre 2008 : "La publication de l’étude épidémiologique Interphone à nouveau repoussée".
Qu’à cela ne tienne, Pièces et Main d’Oeuvre vous livre en avant-première les résultats de cette étude internationale sur les liens entre cancer et téléphone portable.

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