Arthur Morel nous a fait suivre sa « deuxième lettre de la Capitale verte » envoyée à son ami Jonathan, au Québec (lire la première). On découvre la cuvette à travers le regard de ce néo-Grenoblois – ou plutôt, on découvre son regard, peu flatteur. Ce n’est pas une surprise, « c’est Grenoble pour les nuls » dit notre copain Charles, celui qui s’est enfui avec femme et enfants au bout du Finistère. Arthur proteste ; ses amis ont « appris des choses sur Grenoble » dans sa première lettre. Enfin, on avance. Non seulement ce « néo-Grenoblois » avait déjà passé deux ans à Grenoble, lors de ses études de communication, mais sa femme y a passé treize ans. Et maintenant, bien sûr, elle finit sa thèse de géologie avec l’université de Montréal. Reste leur petite fille, mais pour combien de temps ? Va-t-elle vraiment grandir ici ? Est-ce vraiment une ville où élever un enfant ? Arthur continue de s’interroger, et nous avec lui.

(Pour lire le texte, ouvrir le document ci-dessous).

Lire aussi :

 Les Jeux Olympiques : un emballage pour nous faire avaler les ravages de la croissance

 Jacques Hennebert : conseiller municipal et membre du comité des Jeux Olympiques en 1968, opposé à la candidature de Grenoble pour 2018

 Le soleil en face. Rapport sur les calamités de l’industrie solaire et des prétendues énergies alternatives

 Et si on revenait à la bougie ? (le noir bilan de la « Houille blanche »)

 Le compteur Linky, objet pédagogique pour une leçon politique