Le Daubé (plus connu de certains lecteurs sous le titre de Dauphiné Libéré) publie dans son édition du 18 juillet 2019 des entretiens avec "des femmes qui ont choisi de quitter l’Alliance citoyenne à l’origine de l’opération burkini".

Où l’on apprend que l’Alliance citoyenne n’a rien d’une association "égalitaire", "horizontale" et "démocratique", fait taire ses militantes récalcitrantes et donne des formations rémunérées aux Insoumis et aux Verts. Ce qui explique peut-être les ambiguïtés d’Eric Piolle, maire Vert de Grenoble, dans cette affaire. Merci, le Daubé.

Au fait, dans un souci de transparence cher à l’Alliance citoyenne, on aimerait connaître le budget de l’association (localement et nationalement) et sa provenance - outre la fondation Soros (https://www.opensocietyfoundations.org/grants/past?grant_id=OR2016-30058) et la métropole de Grenoble.

Lire aussi :
 Sabrina, athée, féministe et laïque
 Burkini à la piscine : la méthode Alinsky mise à nu
 Islam radical à Grenoble : lisons Naëm Bestandji