Gérald Bronner n’est pas le premier idéologue, ni le dernier, à se faire de la publicité sur le dos des ennemis du Progrès. C’est un genre éditorial : voir Claude Allègre, Luc Ferry, Jean de Kervasdoué, Alexandre Moatti, parmi tant d’autres. Ces éminences ont en commun d’être rétribuées par l’Etat, la Recherche ou l’Université - voire par l’industrie - pour glapir contre le "principe de précaution" et les risques d’opinion, et d’être en conséquence célébrées par tous les porte-plumes et porte-micros de la communication.
Cette fois, c’est notre ami Pierre Thiesset qui a examiné le dernier produit de Bronner, sociologue enseignant à l’université Paris Diderot : La planète des Hommes. Voici sa recension.