Dans son numéro du 2 juin 2011 (n°1155), Politis, hebdomadaire citoyenniste voire alter-capitaliste, nous attaque pour une critique de la techno, publiée, comme le reste de nos livres, à l’Echappée (http://www.piecesetmaindoeuvre.com/spip.php?rubrique8 ).

Chacun bien sûr est libre d’écrire ce qu’il veut de nos ouvrages. Mais les balourdises d’un techno-progressiste standard sont un tel régal pour les gourmets que nous n’avons pas voulu en priver nos lecteurs. On trouvera ci-après (p.3) la page qu’il nous consacre, sous le titre : « La techno, une musique qui dérange (encore)… ».

L’auteur y découvre qu’il se trouve (encore) des gens pour critiquer les ordinateurs et devinez ce qu’il leur rétorque ? Bravo : le retour à la marine à voile et aux lampes à huile. Ce qui nous change des sempiternelles injonctions à retourner dans les grottes d’Ardèche éclairées à la bougie. Pour un peu, il croirait nous démasquer en nous traitant de luddites.
Voilà un discours qui rafraîchira les anti-nucléaires, anti-OGM, anti-nanotechnologies et tous les opposants à la tyrannie technologique : pour une fois, ils ne sont pas traités d’obscurantistes, mais de « réactionnaires », par un garçon bien de son temps et fier de sa bien-pensance progressiste, qui ânonne la ligne officielle sur la technologie (vous savez, « la technologie est neutre, tout dépend de ses usages »).

Croyez-le ou non, ce mois-ci, pour une réponse sur les liens de la techno avec le capitalisme high tech, et sur « la société moderne où se mélangent progrès, consommation, commerce, capitalisme, technologie et techno », mieux vaut lire Trax, « le magazine des musiques électroniques » (juin 2011). Le voici.

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