Il est loin le temps où Le Daubé titrait à propos de la vidéosurveillance : "Grenoble n’est pas Big Brother" (11/10/05). Aujourd’hui Grenoble devient "Big Brother", si tant est qu’une phrase aussi grammaticalement inepte puisse être écrite ; et ce sont le collectif Stop Caméras 38, le petit journal local Le Postillon, le site de libre publication Indymédia, ou encore Pièces et Main d’oeuvre, qui informent les Grenoblois des projets d’espionnage que le maire Michel Destot (membre de la Ligue des Droits de l’Homme) et ses adjoints (J. Safar, J. Chiron, etc) fomentent dans leur dos.
Un lecteur nous a adressé un document qui révèle le détail du plan de vidéoflicage de la population. Nous le proposons en deux fichiers distincts, à télécharger ci-dessous.
Un document à lire et à analyser en détail pour vraiment comprendre l’état des lieux et découvrir les prochains emplacements des caméras, le budget global de l’opération, ainsi que la destination des images de nous volées dans l’espace public.
Et au fait, qui est ce "cabinet conseil en vidéoprotection", nommé TechnoMan Ingenierie, qui élabore le schéma directeur de flicage vidéo avec la mairie de Grenoble ?