Le CNRS et le CEA publient le 1er juillet 2014 une étude sur la biodistribution des nanotubes de carbone dans l’organisme.
Extrait : "Après une exposition pulmonaire de souris (20 microgrammes de nanotubes marqués, administré en une seule fois au début du protocole) et un suivi pendant un an, cette étude a permis de démontrer le passage des nanotubes de carbone du poumon vers différents organes, notamment le foie, la rate et la moelle osseuse. Elle démontre la capacité de ces nanoparticules à franchir la barrière pulmonaire (barrière air/sang). Par ailleurs, il a été observé une augmentation continue au cours du temps de la quantité des nanotubes de carbone dans ces organes, traduisant une absence d’élimination de ces particules, sur cet intervalle de temps. Des études ultérieures devront préciser si cette observation perdure au-delà de 1 an."
On leur avait bien dit.