Fidèle à 100 ans de tradition grenobloise et aux coutumes du triptyque recherche-industrie-pouvoirs publics, Geneviève Fioraso, secrétaire d’Etat à la Recherche et à l’enseignement supérieur, éminence du techno-gratin, intrigue au gouvernement pour capter 274 millions d’euros au profit du plan "Nano 2017". C’est-à-dire, au profit de STMicroelectronics (Crolles 2) et du CEA.
L’article de "Médiapart" (ci-dessous) s’indigne du conflit d’intérêt de Fioraso, proche du patron du CEA Jean Therme, et compagne du second de celui-ci, Stéphane Siebert.
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