Depuis le "choc pétrolier" de 1973, et plus encore depuis les catastrophes de Tchernobyl et de Fukushima, les énergumènes qui nous gouvernent sont à la recherche d’ "énergies alternatives" : géothermie, biomasse, éolien, hydrogène, etc. Mais le véritable Graal de cette quête d’un combustible inépuisable et à vil prix reste l’énergie solaire qui, sauf imprévu, nous alimente pour encore 4,5 milliards d’années.
Après les sacrifiés à l’idole nucléaire, voici ceux du nouveau culte solaire : expropriés des "terres rares", des terres agricoles, des steppes et déserts réquisitionnés pour les centrales solaires, victimes des ravages environnementaux de cette nouvelle industrie.
Voyez Moncuq-en Quercy-Blanc, d’où notre ami Blaise, membre du collectif d’habitants de Montcuq, Bouloc, Lauzerte et des environs, nous envoie sa contribution à l’enquête publique concernant 66 hectares de photovoltaïque industriel. Car l’industrie solaire, non contente de s’accaparer le soleil, entend s’accaparer également des centaines d’hectares de terres agricoles autour de sa commune.
Deux réunions et débats publics sont prévus :
– Le samedi 19 Mars 2022 à 16h, à la salle des fêtes de Bouloc-en-Quercy
organisé par des habitants de Montcuq, Bouloc, Lauzerte et des environs
– Le vendredi 1er Avril 2022 à 20h, à la salle des fêtes de Montcuq
organisé par l’association Environnement-Juste
Pour lire le texte de Blaise, ouvrir le document ci-dessous.
Pour en lire davantage : Frédéric Gaillard, Le soleil en face. Rapport sur les calamités de l’industrie solaire et des prétendues énergies alternatives (L’Echappée, 2012).
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