Il parait que l’industrie pharmaceutique fait moins de profits ces jours-ci : la faute aux génériques et au rationnement des prescriptions. Du coup des centaines de visiteurs médicaux sont licenciés. Avant de vous en affliger et de courir signer une pétition de soutien à ces malheureux "pushers" de drogues plus ou moins létales, lisez le texte de Norma Fidel, qui quatre ans durant, a observé le secteur de l’intérieur.
Et si vous avez un oncle chez BioMérieux, une amie chez Fabre ou Sanofi-Aventis, de vieux parents accros à leur liste de prescriptions, passez-leur le mot.

Vous souvenez-vous de l’article "Pourquoi j’ai quitté le CEA" (http://www.piecesetmaindoeuvre.com/...) qui a connu une belle diffusion dans les labos de recherche et alentour ? On a découvert à cette occasion que nombre des camarades de promotion de l’auteur, à l’Institut national polytechnique de Grenoble (INPG), avaient déserté les champs de la recherche & développement, ou souffraient pour le moins d’un certain désabusement.
Norma est une amie de l’auteur.

Appel à témoins : si vous aussi voulez nous raconter pourquoi vous avez quitté l’INRA, l’INRIA, l’Inserm, ou votre prometteuse carrière chez EADS ou Areva, écrivez-nous à : contact.pmo(arobase)free.fr.

Nos vies valent plus que nos emplois.

(Pour lire le texte intégral, cliquer sur l’icône ci-dessous).