Militant féministe et laïque, Naëm Bestandji a longtemps travaillé dans le secteur socio-culturel des quartiers populaires où il a toujours vécu. Il a participé au comité isérois du mouvement "Ni Putes Ni Soumises".

"Je suis français d’origine tunisienne. Ma double culture, française et tunisienne, laïque et musulmane, est une richesse. En plus de mon expérience professionnelle, c’est ce qui a facilité très tôt ma prise de conscience de la menace. Une menace double, celle de l’extrême droite musulmane et celle de l’extrême droite traditionnelle qui se nourrissent l’une de l’autre."

Le besoin d’aller plus loin que le militantisme l’a poussé à reprendre des études et à travailler sur l’histoire des femmes et de la laïcité. Il a notamment rédigé un mémoire sur "l’islam radical et les femmes", dont il extrait des matériaux pour la rédaction d’articles en ligne sur son site : https://www.naembestandji.fr/

A titre d’échantillon et pour vous inviter à en lire plus sur son site, nous reproduisons ci-dessous quelques unes de ses analyses.

Nous ne sommes pas plus heureux de traiter (si peu, d’ailleurs) de l’islamisme que du transhumanisme, mais voilà, on ne choisit pas son temps ni sous quelles formes va s’actualiser l’inhumanité contemporaine.

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